Très controversée au départ, l’hypnose médicale est aujourd’hui sollicitée dans plusieurs domaines de la santé. Reconnue pour ses bienfaits thérapeutiques et pour ses résultats positifs, l’hypnose est associée aux méthodes de traitement de diverses maladies. Si vous vous posez encore des questions sur son utilité, découvrez-en plus en lisant la suite.
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Atténuer la douleur
Dans le traitement des grands blessés, l’hypnose peut être un excellent moyen pour atténuer les douleurs. En effet, elle est utilisée en cas de douleurs aigües et chroniques chez les patients. En ayant recours à certains procédés imaginaires, l’on peut être en mesure de déplacer virtuellement une douleur. Par exemple, elle peut être employée pour des cas de brûlures graves, de forte migraine, lors d’un accouchement, ou pour un cancer.
Mieux gérer la sexualité
Eh oui ! L’hypnose est aussi efficace en matière de sexologie. En réalité, elle intervient pour guérir les troubles sexuels dus à un problème psychologique. En complément d’un traitement thérapeutique, l’hypnose peut facilement débloquer des problèmes de frigidité, de stress, d’éjaculation précoce et même de faiblesse sexuelle.
Se détourner d’une addiction
Si vous êtes une personne à forte dépendance aux drogues, à l’alcool ou au tabac, l’hypnose pourra vous être d’une grande utilité. C’est le moyen par excellence pour arrêter une addiction, tout en suivant une thérapie sociale et médicale. Vous pouvez donc consulter un spécialiste ou participer à des ateliers hypnose intégrative pour une meilleure prise en charge.
En cas d’intervention chirurgicale
À ce niveau, l’on parle d’hypnosédation! Par ce procédé, l’on associe les techniques d’hypnose aux interventions chirurgicales. Le plus souvent, il s’agit d’opérations pouvant avoir un effet traumatisant sur la personne du patient (cancer du sein, endoscopie, etc.). Cette pratique d’hypnose est également couplée à de faibles quantités d’anesthésie.
En définitive, l’hypnose peut intervenir dans divers domaines de la santé. Tout dépendra de la maladie et de la nécessité à l’intégrer au processus de traitement.
